Nadine Oberhuber : Il était une fois le contrôle des loyers | Capital+

Dans les grandes villes comme Francfort, les logements sont rares et les loyers, proportionnellement élevés. Le contrôle des loyers n'a rien changé à la situation.
© Florian Gaul / IMAGO
Le nouveau gouvernement allemand a prolongé le controversé contrôle des loyers. Penser que cela stoppera la hausse des prix revient à croire à la bonne fée.
Si le monde était un conte de fées, les locataires joueraient le rôle de la malheureuse victime. Les propriétaires seraient des propriétaires malhonnêtes, et l'histoire se déroulerait ainsi : à force d'augmenter les loyers, les résidents se sont retrouvés dans la misère. Puis la bonne fée est apparue et leur a instauré un contrôle des loyers. Et s'ils ne sont pas morts, ils vivent encore aujourd'hui dans la misère.

Sous la coalition gouvernementale « feux tricolores », les pompes à chaleur sont devenues une pomme de discorde. Aujourd'hui, cette technologie gagne du terrain dans les chaufferies, même si les subventions sont toujours menacées. Tillman von Schroeter, PDG de Vaillant Allemagne, revient sur une transition difficile.

Le gouvernement présente son programme de retraite comme une réforme et un succès majeur. En réalité, il n'en est rien. Il ne fait qu'accroître les déficits financiers déjà existants. Et les travailleurs en paieront bientôt le prix.

La division marine de Thyssenkrupp, TKMS, est florissante. Cependant, les nombreux contrats de défense de l'entreprise constituent également un problème. Son introduction en bourse est désormais prévue, et les actionnaires ont approuvé le projet.

Les cinq premières entreprises représentent près de la moitié du DAX. Ce niveau de concentration n'a été comparable qu'à l'époque de la bulle Internet. L'histoire montre l'importance de la diversification.

Si Stephen Miran parvient à ses fins, la Réserve fédérale perdra son indépendance. Le président Trump souhaite désormais le nommer au conseil d'administration de la banque centrale américaine.
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